Lu, aujourd'hui, dans le métro, ces vers de Victor Hugo encadrés à l'intérieur d'une rame :
Les enfants chancelants sont nos meilleurs appuis.
Je les regarde, et puis je les écoute, et puis
Je suis bon, et mon coeur s'apaise en leur présence ;
J'accepte les conseils sacrés de l'innocence
Comment ne pas penser à ce qui s'est passé aujourd'hui à Toulouse ?
L'horreur.
Quel est donc ce monde où l'on tue des enfants ? De sang-froid.
Une pensée, une prière, une invocation pour les victimes, pour leurs parents et proches, pour celles et ceux qui les pleurent.
1 commentaire:
Quelle merveilleuse coïncidence de tomber sur ce blog. Moi aussi, hier, j'ai lu les lignes de VH dans le métro, moi aussi elles m'ont fait penser aux enfants de Toulouse, moi aussi j'ai voulu retrouver la citation. Merci!
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