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Ce petit enfant qui gît au bord de l'eau... Ce corps sans vie au visage recouvert par les vaguelettes. Mort noyé et rejeté sur les rives d'un paradis touristique. Un enfer, plutôt. Mais ce n'est pas la mer qui l'a tué. C'est Assad, c'est Daech, c'est le passeur, c'est l'Europe qui n'en voulait pas, c'est nous tous, notre indifférence, où que l'on soit, quoi que l'on pense de cette guerre désormais annonciatrice de tant de cataclysmes à venir.
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